mercredi 13 avril 2016

HD KH NRV

Nos amis japonais ont ceci de formidable, c'est qu'ils ne se posent aucune limite.
Prenez ce modèle, un KH, que certains n'oseraient même pas toucher et tout juste faire rouler
et ben voilà ce qu'ils en font (!)
J'adore.







Le modèle de base
Du déjanté et indispensable Bubble Visor

2 commentaires:

  1. Je ne me permettrais sous aucun prétexte de gâcher la belle image que l'on a tous, du goût prononcé et du sens artistique fénomènal de ce peuple nippon pour les fantastiques réalisations qu'ils nous proposent. Néanmoins et ayant plusieurs amis fans de cette culture, je me permets (au risque de ne plus avoir tel ou tel ami lol)de faire part à l'assistance de ce super blog, quel a été leur déconvenue au retour de leur visite au pays du soleil levant tant espèré, me narrant chacun que si tu n'est pas japonais, tu n'existe pas. Ils ne veulent même pas apprendre l'anglais histoire de communiquer, et si tu es européen, tu es d'une race des plus inférieure. S'il y avait une définition contemporaine, voire millénaire du fascisme, je pense qu'elle ne serait pas loin des volcans de la ceinture de feu du Pacifique ! Ce sont donc certainement les "amis" de quelqu'un (de japonais), mais sûrement pas les nôtres, bien malgré nous malheureusement.

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    1. Je reconnais bien là un esprit affuté, perspicace, un brin acide mais d'une grande justesse. Sans vouloir rentrer dans la philosophie de comptoir, il me semble que c'est la marque des insulaires. Même si leur sens du dévouement à leur patrie, le respect quasi maladif qu'ils portent aux autres (là aussi dû à leur espace non extensible) n'ont rien à voir avec une ouverture sur les autres. Les nouvelles générations ont certainement une envie plus grande de voir autre chose mais ce n'est pas pour autant qu'ils y portent plus d'intérêt. Le côté amicale reste une conquête. Ce n'est pas quelque chose qui se donne… mais qui s'acquière. Et ça, c'est valable partout. Une amitié trop vite donnée ne vaut rien… ou pas grand chose. C'est un peuple dur, qui a souffert et qui en reste marqué. Tous ces facteurs expliquent peut être cette défiance.

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