lundi 10 juin 2024

The Art of Freedom des Ateliers Lorenzo Eroticolor

 

D'aucuns le qualifieraient de roman d'anticipation, d'autres y verraient une prophétie, nous, nous préférons vous laisser juge. Lorenzo, a su affûter ses plumes, pour vous offrir une œuvre complète. Une écriture ciselée, au phrasé inimitable répondant au graphisme au style emprunt de culture et façonné au fil des ans.

Laissez-vous aller avec Blake dans cette aventure, ou le retour n'est plus possible…

Format 16 x 24 cm, 130 pages couleur, Français et Anglais

 

Une seule adresse
www.les-editions-veetess.fr




 

mardi 28 mai 2024

Veetess is BACK !!!!


 S'il reste encore quelques nostalgiques d'une époque révolue, résistants à ce monde perdu, amoureux de bons mots autant que de belles phrases… voici le temps de raccrocher les wagons.

Veetess est de retour, qu'on se le dise !
S'adaptant au changement, ce que vous connaissiez sous forme de livres (d'excellentes factures au demeurant) revient sous la forme d'une maison d'édition.

Une production qui sera vous surprendre, autant dans ses choix que sa fabrication. Et comme à son habitude, le taulier commence très fort avec le roman (abondamment illustré), The Art of Freedom, du seul affichiste encore debout, j'ai nommé Monsieur Lorenzo Eroticolor !

Alors précipitez-vous sur
www.les-editions-veetess.fr
avant que le stock ne soit réduit à néant.

Commande partout dans le monde et plus loin s'il le faut.



dimanche 28 mars 2021

Il faut que tout change…

 … Pour que rien ne change. C'est cette réplique célèbre du Guépard, qui me semble résumer le mieux cet ouvrage. Au delà des 362 chroniques, c'est un bien mauvais constat qui s'impose une fois ce livre (ce parpaing pourrait-on dire) refermé, laissant un goût plus qu'amer. Car rien n'a strictement changé. Un bout de nichon qui dépasse, une pause subjective, un cul (même moche), une satire trop éloquente… j'en passe et pas forcément des meilleurs, tout passera à la trappe après avis défavorable de la censure qui se gargarisera d'avoir fait son travail, exercé par une poignée de connards pensant représenter la majorité. Un des meilleur exemple (actuel) que je retiendrais de cet ouvrage, c'est celui de Damien Saez, brailleur tout le temps vénère dégueulant sa rage d'une voix à peine mué se voyant refuser sa pochette de "J'accuse", pour y avoir représenté une femme dans un caddie de supermarché. À l'époque, "les chiennes de garde" toutes puissantes, n'avaient pas raté l'aubaine de se faire mousser pour faire passer au bûcher l'artiste savoyard pour sa provocation, n'ayant pas eu la finesse de comprendre son ironie. Il n'y avait certainement pas d'autre chats à fouetter, les violences conjugales, l'inceste ainsi que les viols intra familiaux n'existaient donc pas à l'époque ?! Et se sont-elles offusquées lorsqu'un site de rencontre strictement féminin s'est fait appeler "Adopte un mec" et ayant pour logo, un homme qui tombe dans un caddie ? Le malheur dans cette société, c'est que nous sommes représenté par des connards et que, comble du malheur, c'est que la majorité suit. Et comme dit si justement Damien : "L'homme ne descend pas du singe… mais du mouton."

Mais pour revenir au sujet premier, ce bouquin est un vrai bonheur. Un livre qu'on dévore d'un coup mais qu'on aime picorer de temps en temps. Documenté mais rigolo. Un vrai bon livre donc et, cerise sur le gâteau, c'est un ouvrage personnel, réalisé par un amateur pur sucre, un passionné épris de culture musicale et de culture tout court, ce qui ne gâche rien. Alors lâchez vos platines 5 mn pour vous offrir un voyage temporel qu'on pourrait croire révolu… mais tellement d'actualité.

Pour commander, c'est là.




mercredi 10 février 2021

Ça roule !

 Voilà des images qui font plaisir. Une grand mère qui roule avec envie et délectation… Un bout de bonheur quoi.


La 16H de 1930 du Tonton

vendredi 5 février 2021

mardi 19 janvier 2021

D'ailleurs… mais de nulle part

Ils sont partout mais on ne les voit plus. Profitant de la nuit tombante pour hanter l'obscurité de leur bien piètres faisceaux blafards. Eux, ce sont ces Hommes d'un autre âge, d'une autre époque, d'un temps qui n'existe plus… dont ce monde ne veut plus. L'équilibre comme seul filet et l'horizon pour seul but. Aujourd'hui ici, demain là-bas. Insaisissables puisque libres.

Aucun chiffre ne rivalisera avec la poésie du support, aucun superlatif ne sera à la hauteur du projet, l'hygiénisme n'aura pas raison de sa folie car qui serait bien assez barge pour se lancer dans telle aventure… un motocycliste, un aristocrate de la route, un rebut de cette société bien trop propre sur elle pour être honnête, un félon de la bien pensance. Tout ça à la fois. Ils sont peu… mais ils en reste.










samedi 9 janvier 2021

Radikal Custom Artworks

 Il semblerait qu'une poche de résistance persiste à vouloir marquer de son empreinte cette époque, totalement à l'opposée de ces principes. Ce trimestriel entend remettre l'église au milieu de ce village appelé Custom, bien trop souvent paré d'accessoires inutiles et réduit à une apparence folklorique. D'une part par certains de des protagonistes temporaires prêts à se déguiser pour être bien vu sur la photo, et d'autre part, par une presse, soit disant spécialisée, qui n'a jamais rien fait d'autre que de ne vouloir que ça. Ici, pas de fanfreluches ni de décor trop pompeux pour être honnête, pas de placement de produit ni de pubs racoleuses, c'est un retour à l'essentiel du mouvement : un homme, ses mains et ce qu'il peut en faire. Basta.

Cette publication indépendante, c'est à souligner, se veut de qualité, c'est le cas. Mais il faut rappeler que nous partions de loin. La presse citée plus haut avait déjà été bannie depuis longtemps des étagères de nos chers puristes qui se rabattaient, faute de mieux, sur des supports dans la lignée de Dice, petit format, maquette basique, voir primaire et des fois crasseuse, textes minimalistes mais finalement, qui collait parfaitement à sa clientèle. Radikal CA entend rehausser le niveau, pourquoi pas ? Aucune raison donc de se priver de ce mook qui pour moins de trente balles pourra vous faire économiser largement toutes les autres bouses totalement inutiles.







Radikal Custom Artworks

samedi 5 décembre 2020

La vie… sinon rien

 Je parlais précédemment de saine lecture et d'intelligence au pied du sapin, mais il ne faut pas en oublier l'essentiel. Ce qui fait qu'on apprécie de se retrouver autour d'une table ou d'un comptoir, entouré de personnes qu'on aime découvrir ou continuer à aimer avec de bonnes choses, autant solides que liquides. Et dans cette période de merde ou on nous fait bouffer avec un masque, ou le sanitarisme prend le dessus sur le vivant, il était temps qu'on y revienne à ces vraies choses de la vie. Alors pour ceux qui l'aurait oublié, voilà un vrai vaccin, Gueuleton Magazine est là pour vous rappeler les vraies valeurs qui font que notre pays est si beau et que ce n'est pas prêt de changer. Du gras, mais du bon, du pinard, mais beaucoup, et surtout, de la rigolade entre potes et en quantité illimité. Parce que, je vous le dis, c'est bien là qu'est la vie… la vraie.


lundi 23 novembre 2020

Saine lecture

 Il faut penser à mettre quelque chose d'intelligent au pied du sapin… et qui vient à votre rescousse ? L'ami Laurent Bagnard est sur le coup pour vous faciliter la tâche. En cours de finitions, l'auteur a besoin de vous. En pré-commande, ce bouquin de 144 pages et 200 photos, vous offrira un voyage bien salvateur par les temps qui courent. De la belle mécanique, de beaux décors et des trognes familières. Comme d'habitude, le loustic se démerde tout seul mais mérite largement le coup de main (au porte monnaie), et 30 balles, c'est pas la ruine. 










vendredi 20 novembre 2020

mercredi 11 novembre 2020

Le casse du siècle ?

Voilà 9 mois qu'on nous les brise avec cette saloperie qu'on nous vend naturelle. En gardant un peu de discernement, de sens de l'analyse et de recul (si tant est que cela soit possible), on se doutait bien que la Chose paraissait trop grosse, – trop bien comprise par certains et forcément, démasquée par d'autres –, pour être honnête. Selon l'expression reine du moment qu'une grande partie de la population a fait sienne pour éviter de comprendre ou d'approfondir ce qui l'entoure, le "c'est compliqué" s'applique à merveille à cet événement sans précédent. 

Partant d'une grippette qui ne passera pas les frontières, pour arriver à un fléau planétaire on a bien du mal à comprendre – même en cherchant à le faire –, comment on en est arrivé à cette débâcle des États et à l'effondrement de la société "moderne" déjà bien mal en point. Il fallait bien une intervention qu'on aurait préféré divine. La réalité est bien plus sordide. Ceux qu'on appelle très injustement "les grands de ce monde" auraient bien été déçu de ne pas profiter de cette aubaine pour se gaver encore plus. Rassurez-vous, ils ont bien fait les choses.

La volonté de l'auteur, comme la mienne et celle de tant d'autres, est d'exposer les faits pour que chacun puisse se faire sa propre opinion, sans se faire beurrer la raie par des médias, à la botte du pouvoir, remplaçant sciemment l'information par la communication. Pierre Barnérias ratisse large et, preuves à l'appuie, démontre que ce virus n'est que l'arbre qui cache la forêt.

En cherchant un peu, vous pourrez voir Hold-Up gratuitement sur certaines plateformes, mais ce film citoyen comme il se qualifie, n'aurait pas vu le jour sans une cagnotte en ligne. Ça n'a évidemment pas suffit pour payer les factures alors il faut continuer à aider la prod à pouvoir diffuser ce documentaire de plus de deux heures plus largement. Initialement prévu uniquement sur Viméo, il serait bon qu'il touche un maximum de personne.

vendredi 6 novembre 2020

dimanche 1 novembre 2020

Éternel

 Le meilleur représentant de commerce de la fameuse marque anglaise Aston Martin, vient de raccrocher le holster. Le plus emblématique agent de sa Majesté avait mis son charisme, son élégance et son humour dans l'incarnation du plus célèbre espion gratifié du permis de tuer. Ecossais pur malt, Sean Connery incarnait la cool attitude comme peu savait la manier. James Bond a perdu une grosse partie de lui-même. Repose en paix Sir.



samedi 31 octobre 2020

Tracteur couillu

Les sportives américaines transformées en racer réussi ne sont pas légion.

Ce n'est d'ailleurs pas la base la plus facile. Certains s'y collent et d'autres réussissent.

Scott Mckee est de ceux là. Équilibre et justesse du choix des pièces, c'est beau et élégant… plus serait trop.




Pécho sur l'indispensable Rocket Garage

 

mardi 8 septembre 2020

Du son

Voilà plus de 4 mois que je me fais chier à la maison, une guibole pas vaillante et l'autre qui ne veut rien foutre. Alors après des heures de tablette, de lecture, après avoir ré-écouté toute ma discothèque, aller chercher le courrier devenant une aventure, il faut bien que quelque chose vous sorte du plumard avec un bon coup de pompe dans le cul… Bah le voilà !

 

vendredi 24 juillet 2020

Monde merveilleux

– "Bonjour, je vous appelle pour savoir ou en est ma pièce ?
– Ah mais vous savez Monsieur, à cause du Covid, toute l'industrie est arrêtée, 
les usines tournent au ralenti, les livraisons sont retardées…
– Ah oui, bien-sûr.
– Et puis ça tombe bien que je vous ai, sachez que nous sommes contraints d'appliquer une majoration circonstancielle dû à l'application des normes sanitaires obligatoires…
– Ah bon ?
– Oui, pour l'achat des masques, la distanciation sociale faisant également que nous n'avons pas le même nombre de personnels dans chaque équipe… enfin, vous comprenez, c'est compliqué.
– Ah oui, je comprends. Et elle s'élève à combien ?
– 5 %
– Quand même ?!
– Je comprends que le pourcentage puisse paraître important mais nous faisons tout pour épargner quelconque risque à nos employés. Gants, masques, combinaisons intégrales sont changés toutes les 2 heures…tout est fait pour que leur sécurité soit optimum.
– Ah… d'accord.



lundi 13 juillet 2020

Pas à côté de ses lattes

Une voix qui chante comme un twin italien, une gouaille assumée et rassurante.
Rassurante par sa clarté et sa franchise.
Monsieur Gomez fabrique des souliers mais pourrait aussi bien être mécanicien, horloger ou fin épicier.


jeudi 9 juillet 2020

Balade dans les bois

Un des circuits les plus exigeant, à fond, en Porsche, il fait beau, le pilote à l'air en forme…
Bilan, record du tour. Si c'est pas ça être gâté ??!!

jeudi 25 juin 2020

Du son ki envoie sa Race

Aucune objectivité dans tout ça… c'est des potos.
Hardcore de confinage, mais ils sont déglingos à la base.


lundi 22 juin 2020

Choisi ton camp… bonhomme

Voilà ce que dit un ami quand la situation se complique. Et là est bien la question essentiel d'une vie.
Où veut-on se placer. On pourrait simplifier en séparant le bien et le mal, bien trop basique.
Mais quand on voit ces 2 vidéos, on ne peut que constater qu'elles sont séparées d'un gouffre abyssal. 

D'un côté, le gamin qui à récupéré une brèle en sursis de déchèterie, qui bouine en tong dans son jardin, qui soude en short et se démerde avec une clé de douze et une scie édentée avec un budget ne dépassant pas son argent de poche du mois.
Et de l'autre, un dessinateur de fer à repasser, à qui toutes les portes sont ouvertes, qui n'a certainement pas touché une glingue pour la transfo (je peux me tromper) mais a bien évidemment disaillené ce chef-d'œuvre et qu'on invite à tester son bijou sur circuit (dans un style qui lui appartient)
en slow motion parce que c'est super beau.

A la lecture de mes teaser, vous aurez compris de quel côté ma préférence s'est installé.
À vous de choisir.



samedi 30 mai 2020

Les temps changent…

… Oooh, je ne compte pas vous apprendre quoi que ce soit en vous disant cela, surtout en ce moment. Mais l'exemple à suivre en est bien le reflet. On apprend, de cyber source, que Claude Lelouch prépare une suite à son premier court métrage, Pour un rendez-vous. Rappelez-vous (sinon c'est là), la traversée de Paris selon le réalisateur, du bois de Boulogne au Sacré-Cœur en moins de 10 mn… ça vous parle ? Et bien la suite, Le grand rendez-vous – pour la modestie vous repasserez –, se passera à Monaco – question simplicité on verra plus tard –, avec au volant Charles Leclerc, pilote F1 de la Scuderia Ferrari – plus people tu meurs –, au volant de devinez quoi ? une Ferrari bien-sûr – plus prévisible, y'a pas –, mais surtout, filmé dans les rues désertées de l'immonde capitale du luxe m'as-tu vu, puisque ce petit gymkhana a été autorisé et avalisé par les autorités locales – sauvagerie et rébellion peuvent circuler, y'a plus rien à voir ! 
Pas de quoi donc décoiffer les petites vieilles, tout est sous contrôle, vous pouvez dormir tranquille.

vendredi 8 mai 2020

Bravo

C'est en théorie, le dernier week-end de confinement. Alors rendons hommage au personnel soignant.
Merci les filles, vous êtes formidables.


Norton Commando 850 JPS

Si on me disait, même un 8 mai, que j'apprécierais d'avoir une moto bleu-blanc-rouge dans mon garage,
très franchement, j'aurais un doute sur mon bon goût. Mais là, faut avouer que les ricains d'Union
ont fait les choses bien. La base est noble mais surtout traité dans l'esprit des motos de course de la marque.
Et je dis bien dans l'esprit puisque tout a été refait… en plus fin.
La finition est impeccable et le traitement en gris mat de certaines pièces (tés, jantes…) est du plus bel effet.
La ligne est dynamique et donne tout de suite envie de prendre la route. Beau boulot.



via le Rocket

vendredi 1 mai 2020

lundi 9 mars 2020

LE Rock'nRoll

Posez le bouquin sur la table, ouvrez la bouteille, servez-vous… La couverture est douce et éclatante, arrogante comme un camion de pompier. Le papier fin et jaune, la mise en page biblique vous placent tout de suite dans un décor moite et électrique. Réservez-vous. Mais avant de commencer, d'une main caressez la couverture, de l'autre chercher Live at Star Club, Hamburg 1964 sur votre portable. Validez, cochez ou volez le, mais envoyez la sauce. La tarte dans la gueule est immédiate, solide et implacable, personne n'y résiste, c'est efficace est rodé comme un vrai papier musique. Laissez le son à fond, si ce n'était pas déjà le cas, ne vous réservez pas et disparaissez. Pour les autres, mettez-vous un double, c'est pour moi. Vous êtes prêts ? C'est parti pour la leçon. LA leçon. Celle que vous n'oublierez jamais, celle qui vous marquera toute votre vie… OOOooohh… elle n'est pas du prêtre du coin… pas d'un philosophe cathodique trop propre… elle est de ce bon vieux fils de pute de Jerry. Oui, Jerry, Jerry Lee Lewis… ce bon vieux pèquenot, ce plouc, ce peigne-cul de Louisiane, cet espèce de blondinet en costume. JERRY LEE LEWIS. The Killer. Celui qui fout le feu au piano. Celui qui parle à la troisième personne. Celui qui toise Chuck Berry après avoir brulé son piano et chauffé le public à blanc. Celui qui à balancé sa frangine de la falaise. Celui qui à tiré sur un de ses musiciens. Celui qui à épousé sa cousine de treize ans. Celui qui à épuisé cinq femme. Celui qui traitait Elvis comme une sous merde. Mais celui aussi qui savait comment enflammer une scène et ses spectateurs. Celui qui martelait son piano comme s'il était responsable de toutes ses misères. Celui qui roucoulait dès qu'une colombe rentrait dans son périmètre, celui qui a traversé toutes les époques, joué sur toutes les scènes. Celui qui à survécu à ces branleurs de Beatles et de Stones, avec leurs escortes de chevelus camés et attifés comme des gonzesses. Putain, celui qui joue du Boogie-woogie, comme il aime à le dire, mais qui n'est rien d'autre qu'un vrai combat, une bagarre et c'est pareil pour la Country et le rock'n roll, tout ceci n'est qu'une guerre de deux heures. Réservez-vous, si il en reste, jetez-vous dans cet ouvrage stylé et terriblement rock'n roll comme l'est Nick Tosches et comme l'est l'un de ses deux derniers représentants (Little Richard étant encore lui aussi debout). C'est du pur rock'n roll, dans l'attitude et dans la musique, dans son existence et dans sa légende, dans son cœur et dans ses tripes. Ce n'est rien que LE rock'n roll. Et j'aurais bien filé une paye pour lire un truc pareil, alors pour moins de vingt balles, c'est carrément donné.



Hellfire de Nick Tosches, éditions Allia

jeudi 27 février 2020

Pure chiotte

Voilà comment j'aime une moto.
Dans son jus, qui fait son âge, un petit réservoir (là, on ne peut pas faire plus petit),
des jantes noires, basique, primaire.




sur le Rad

mercredi 19 février 2020

Bon Scott éternel

Il y a quarante piges, le chanteur d'AC/DC était retrouvé mort dans une bagnole à Londres.
Un putain de chanteur disparaissait mais une légende venait de naître.