En faisant abstraction des grandes enseignes qui avaient sorti l'artillerie lourde pour séduire le badaud, l'événement pouvait séduire le plus grand nombre, a condition de ne pas être trop pointilleux sur l'esprit de base. En effet, si le Triton Club de France n'avait pas rameuté la cavalerie, je ne vois pas où aurait été les Café Racer "de base". Alors vous me direz, "il n'y a pas que ça dans la vie", et vous aurez raison, mais ma mauvaise foi vous répondra qu'il vaut mieux changé le nom du rassemblement… mais ce n'est que pur mauvais esprit bien sûr.
Pour autant, cet événement mérite la visite et l'organisation était à la hauteur. Le parc moto était éclectique et varié, chacun pouvait y trouver son compte. C'est certainement ce que vise l'équipe de Bertrand Bussilet… mais attention à ne pas lorgner de trop sur des rassemblements trop "fashion" qui sous ce bel emballage "d'ouverture", cache mal la raison devenu première, celle de devenir une pompe à fric.
Honneur aux pionniers
Et l'avantage avec le Triton, c'est qu'avec leur ouverture d'esprit, les motos sont toujours aussi variées.
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