Sur une vieille compil' du magazine Atomic, j'avais mis de côté un morceau de C.W. Stoneking. Régulièrement écouté, j'imaginais un vieux black édenté, natif des bords du Mississippi ou de Chicago, la clop visée au bec, grattant une guitare hors d'âge sous le haut-vent d'une maison modeste et sans confort. Surprise.
Et un morceau plus swing
J'adore ce type! D’ailleurs en 2011, j'avais pondu un truc sur son deuxième album, Bluffant! L'album, pas l'article hein!!! :D
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