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mercredi 8 avril 2015

Guy Martin dans les airs

La vedette du TT a au moins une qualité (de plus) c'est d'être là où on ne l'attend pas.
Grâce au blog rock'n roll Rock the Bonnie on apprend que Guy Martin s'est engagé dans la restauration d'un Spitfire.
Un pur moment de bonheur que de voir revivre un tel engin.
Je vous recommande la séance de tir sur une cible que les nouveaux employeurs du loustic apprécieront.
Le blog est … et la vidéo ici.


lundi 12 janvier 2015

Meeting aérien Ferté-Alais 2015

Un peu de légèreté… un événement à ne pas rater.
Voir, entendre et presque toucher ces vieux coucous qui dégueulent leurs décibels au ras de vos oreilles
et sous vos yeux ébahis reste un pur plaisir.


vendredi 10 octobre 2014

Rolls Royce

Voilà un bien bel engin.
Propulsé (on pourrait dire catapulté) par un moteur Rolls-Royce Meteor V12 de 27 litres de cylindrée,
couplé a une transmission de Cadillac.
Un moteur mythique associé à l'acier, l'alu, le bois le cuir, un avant de bagnole, un cul de bateau…
tout ce qu'on aime.

Par contre un détail m'échappe, cet engin est donné pour 1928 alors que le moteur Meteor (le même que le Merlin mais sans le compresseur) est un des dernier produit par la firme, qui équipait les charts Charioteer de la seconde guerre (?)… on doit parler ici de la base de cette "œuvre".









 Pour voir l'engin en action, c'est !

(Source K. McKoy)



mardi 22 octobre 2013

Le pied absolu

Sincèrement, passer en rase miche aux pieds des tribunes, à près de 700 km/h, dans un P51 customisé
doit procurer un plaisir unique !


mercredi 12 juin 2013

les V12 de la guerre

Pour flater le regard et caresser l'audition, voici 4 zingues de la seconde guerre avec un point commun,
tous équipés d'un V12.

Honneur au plus beau, le Spitfire. Mu par son légendaire Rolls-Royce Merlin, ronronnant et envoutant.
Un design magnifique… et une super classe.



Son collègue de baston, le Messerschmitt Bf 109. Particularité, son moteur Daimler-Benz est inversé
(c'est à dire le bas-moteur en haut). Pas vraiment beau, puisque dessiné à coups de serpe mais redoutablement efficace… à l'allemande quoi ! 


L'américain. Quelque peu racoleur (on ne se refait pas) avec son fuselage poli, la bête n'en reste pas moins une des meilleurs machines de cette guerre (encore utilisé aujourd'hui pour des courses). Débutant avec un moteur Allison, on lui greffa vite un Merlin bien plus puissant.
Le P51 Mustang… et son sifflement caractéristique.


Et enfin, le français. Beaucoup moins connu que ses acolytes… et c'est bien dommage.
Le Dewoitine D.520. Mis en l'air par un V12 Hispano-Suiza, ce qui ne manque pas de gueule.
C'est un peu… Spit de poche.